- le RPG de l’ex-président Alpha Condé,
- l’UFDG de l’ancien Premier ministre Cellou Dalein Diallo,
- et le PRP de Rafiou Sow.
Dans un communiqué, le ministère de l’Administration du territoire justifie cette décision par le non-respect des règles de la Charte des partis politiques, accusant les formations concernées de ne pas s’être conformées aux exigences administratives.
L’opposition dénonce pour sa part une décision politique, prise alors qu’elle comptait organiser, dès le 5 septembre, des manifestations contre la tenue du référendum.
Durant la période de suspension, ces partis ont interdiction de tenir des réunions, d’organiser des rassemblements ou de mener des activités de propagande, aussi bien au niveau national que local.
Cette mesure s’inscrit dans un climat politique tendu. Vingt-quatre autres partis ont été placés « sous réserve » et risquent eux aussi des sanctions similaires.
Stella S.